Ampère : historique de l’Unité CNRS
1969: nomination du 1er MC en électrotechnique à l’ECL
1980: création du LEL, unité de recherche associée au CNRS, situé à l’ECL
1980: 5 EC, 6 IATOS, 7 doctorants
1985: nomination du 1er chercheur CNRS
1992: création du CEGELY, fusion du LEL et du LCPA (INSA)
1992: 13 EC, 3 CNRS, 1 IT CNRS, 9 IATOS, 28 doctorants
1996: intégration du LEEP (UCBL)
1996: 18 EC, 3 CNRS, 1 IT CNRS, 10 IATOS, 30 doctorants
2003: 28 EC, 4 CNRS, 2 IT CNRS, 9 IATOS, 30 doctorants
2007: création d’Ampère, fusion du CEGELY et du LAI (INSA), intégrant le groupe de Génomique Microbienne Environnementale (UCBL)
2007: 45 EC, 7 CNRS, 5 IT CNRS, 11 IATOS, 64 doctorants
2018 : 60 EC, 13 CNRS, 6 IT CNRS, 16 IATOS, 80 doctorants
En 2007, la création d’Ampère répond à l’objectif de développer des recherches aux frontières de nos disciplines historiques (génie électrique, automatique, ….) . A travers la fusion avec le LAI et l’intégration de chercheurs spécialisés en génomique microbienne environnementale, deux directions fortes sont prises :
- Vers la conception, le pilotage et la supervision des systèmes embarqués et mécatroniques (fusion avec le LAI).
Il est nécessaire pour ce faire de développer une approche système, faisant appel à plusieurs disciplines (génie électrique, automatique, informatique, mécanique). L’association de compétences dans le domaine du fluid power et du génie électrique constitue une exception dans la communauté scientifique française, ce qui est une réelle opportunité pour le développement de nouveaux dispositifs mécatroniques associant énergie électrique, énergie fluide et électronique de commande. Les applications concernent principalement aujourd’hui le domaine des transports terrestres ou aéronautiques.
- Vers l’étude des interactions champs – vivant (intégration du groupe de génomique microbienne environnementale ).
L’objectif est de développer des recherches parlticulièrement interdisciplinaires, associant électromagnétisme, sciences du vivant ou de l’environnement, physico-chimie. Deux projets sont particulièrement visés : l’adaptation des bactéries du sol sous l’effet des champs électromagnétiques (foudre), avec des applications dans la biodépollution des sols, et le développement de piles à combustible microbiennes.
Si notre intention est d’aller vers plus de pluridisciplinarité, il est cependant indispensable que chacune des composantes continue à développer des recherches relevant purement de sa discipline, afin de conserver une excellence dans son propre domaine, et de la mettre à profit pour nourrir les actions communes.